L’Oriflamme : Animation médiévale

Cécilia :
Gérante & Chef de Projet évènementiel

L’Oriflamme s’imposa comme une évidence à Cécilia. Ses aptitudes à la recherche historique acquises durant son Master d’Etude Médiévale la conduisent rapidement à l’expérimentation archéologique et à la reconstitution.
Forte de deux années d’étude en gestion d’entreprise et d’une licence d’entrepreneur du spectacle, elle met au service de l’Oriflamme ses compétences organisationnelles et son sens du management.

Son Parcours

"C’est probablement l’année de mes 11 ans que j’empruntai à la bibliothèque de l’école Le Sorcier de la Montagne de Feu de Steve Jackson et Ian Livingstone, un de ces « livres dont vous êtes le héros » ou le lecteur écrit lui-même l’histoire de son personnage à travers les choix qu’il fait. Cette découverte m’ouvrira la voie vers toute une série d’ouvrage à connotation médiévale, qui mèneront à leur tour au roman historique, aux jeux de rôles puis aux ouvrages et revues spécialisées et, logiquement, aux bancs de la faculté d’Histoire de Toulouse. Mon Master d’Etudes médiévales spécialité archéologie en poche, associé à mon diplôme de BTS en gestion validé 5 ans plus tôt, je me lance sur le marché du travail. De musées en chantiers de fouille, de fêtes médiévales en visites guidées, l’idée de l’Oriflamme commence à germer… ça n’est qu’un commencement !"

Son plus beau souvenir à l'Oriflamme

"Le plus beau souvenir, j’espère qu’il est à venir !

Je vais devoir tricher car il m’est très difficile de choisir entre la sensation grisante de voir la barbacane de la forteresse pleine à craquer de visiteurs lorsque je jette un œil à travers les meurtrières, les fous rires partagés avec les visiteurs, les moments d’émulation à l’heure de la pause lorsque l’ensemble de l’équipe s’enflamme autour d’une conversation historique et la lecture du livre d’or à la fin d’une grosse journée."

Son souvenir le plus insolite

"Ca serait quelque chose à base de réflexion enfantine, toujours spontanées et inattendues. Je retiens cette fois où mon collègue Quentin faisant visiter la forteresse de Mornas à des enfants de 5 ans, demande si l’un d’eux a des questions à poser. Une petite fille lève timidement la main, Quentin l’interroge et elle déclara alors « Et ben moi, mon chien, et ben il est malade ! ».

Nous avons en principe pas mal de répartie et nous rebondissons facilement sur les interventions des visiteurs. Cette petite fille de 5 ans est probablement la seule à nous avoir cloué le bec. S’en est suivi un des plus beaux fous rires jamais vu de mémoire de guide."

Designé et intégré par RED MANTA | Crédit photos par l'Oriflamme sarl